mercredi, avril 17, 2013

56,9% de PIB de dépenses publiques et 46,3% d'impôts : quels secrets cachent ces 10 points d'écart ?

Le gouvernement va présenter mercredi son programme pluriannuel de finances publiques. Alors que Pierre Moscovici a confirmé une nouvelle hausse des impôts en 2014, le taux de prélèvements obligatoires, c’est-à-dire le total des impôts et des cotisations sociales de tous ordres représentera 46,5% de la richesse nationale, du PIB, l’an prochain, contre 45% fin 2012. Le poids des dépenses de l’Etat, de la sécurité sociale et des collectivités locales atteint quand à lui 56,9% du PIB. Comment expliquez-vous les 10 points de décalage entre le montant de la dépense publique et le montant des prélèvements obligatoires ? Suite...

- Moralisation publique, une nouvelle diversion socialiste.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Voilà un résultat impitoyable de trente années de promesses électorales, de transferts divers du monde du travail sur celui du très bien être, et comme cela ne suffisait jamais, on en remettait couche sur couche, jusqu'au résultat fatal, beaucoup moins de serfs républicains, plus le chômage de masse, nous voilà au pied du mur, la boite à outils à la main.. avec en face des politiques totalement désarmés de ne plus pouvoir dépenser l'argent que nous n'avons plus. D'un pays riche, nous voilà financé par le quatar et compagnies tandis que nos jeunes pas trop cons, un diplôme en mains s'exilent. Voilà ou les fonctionnaires de l'E.N.A. nous ont amenés.
DOMMAGE, oui vraiment DOMMAGE de laisser sans réactions NOTRE BELLE FRANCE !!!!!

Anonyme a dit…

A l'occasion d'une émission TV, ce sujet a été abordé. Avec l'inévitable petit spécialiste prétentieux de gauche qui, déroulant son idée jusqu'a l'absurde, en arrivait à la conclusion que : non nous n'avions pas trop de prélèvement et que, non, la dette par capita sur chaque nouveau né n'existe pas, mais est en réalité un avoir. Ce rigolo a du apprendre l'économie et la compta avec les lunettes des cerveaux musclés de l'E.N. dont les programmes économiques sont à mourrir de rire pour qui connait un tant soit peu la réalité. Pour résumer, le coco, présente en gros cela comme un bilan et met dans les "actifs" toutes les dépenses publiques qu'il considère pratiquement comme des recettes. Essayez de faire cela dans la plus petite épicerie et vous verrez très vite ce que cela donne. L'aveuglement idéologique est tel chez ces gens que cela confine à la crétinerie complète. Et pourtant, "ça" a vocation à nous diriger. Cherchez l'erreur. J'oubliais qu'il y avait l'inénarrable Emanuel Tod, pétris de tics - dus à quoi, j'espère que ce n'est pas à une surcharge de "médicaments"?- qui sortait sa sempiternelle attaque soit disant anti-facho comme il le fait à propos de tout et de rien, comme il se lave les dents, enfin, je suppose. Pitoyable!